♦ Quelle nuit ! Crainte de pluie, métro en dysfonctionnement. On allait finir par croire qu’il serait impossible de prier Notre Seigneur dans les rues de Paris. Finalement la pluie a cessé, le métro s’est mis à fonctionner de nouveau et nous avons pu adorer le Christ dans le Saint-Sacrement, le chanter et l’annoncer à tous les parisiens et touristes présents en cette « nuit blanche » dans les rues du 6e arrondissement : « Vous parisiens… vous parisiens. Vous parisiennes… vous parisiennes. Vous les touristes… vous les touristes, bénissez votre Seigneur ! »

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♦ Faites connaître ce nuits autour de vous.
À lire : Origine et esprit de ces nuits, pp 9-10, Dossier des 50 ans (1969-2019)

« Leur caractéristique, c’est que l’adoration et la prière ne sont pas maintenues seulement par des groupes qui se relaient, et qui passeraient par exemple à tour de rôle, une heure chacun devant le Saint-
Sacrement. Ici, c’est toute l’assemblée qui persévère dans la prière pendant la nuit entière, sauf le temps d’une pause. »

« L’avantage de la nuit entière est qu’on expérimente la parole de Notre Seigneur : « Il faut prier sans cesse et ne jamais se lasser” (Luc 18, 1). La patience et l’insistance recommandées obtiennent leurs fruits : lumière, force, joie, unité, espérance renouvelée. »

♦ Notre président, Vincent Terrenoir, explique sur Radio Notre Dame l’origine de ces nuits et leur esprit : www.pourlunite.com/interview-de-vincent-sur-radio-notre-dame-le-24-mai-pour-notre-pele-nocturne-du-1er-juin/

Photo : © Pour l’Unité